Les travaux réalisés par le LMI s’appuient sur la complémentarité entre d’une part l’observation in situ (météorologie, végétation, humidité des sols, etc.), d’autre part l’observation satellitaire qui permet d’avoir une vision spatialisée et répétée des processus de surface, complémentaire de l’observation terrain qu’elle permet d’extrapoler, et enfin la modélisation qui permet de reproduire la dynamique du système et prévoir ses évolutions futures.
Le LMI TREMA a ainsi mis en place progressivement depuis 2002 un observatoire hydrométéorologique.
Nous distinguons différents types d'informations in situ:
Nous distinguons différents types d'informations in situ:
- Données météorologiques
- Mesures de flux d’évapotranspiration et d'énergie, complétées par des mesures continues ou par échantillonnage spatial concernant le sol et la végétation
- Enquêtes de terrain sur l'occupation et l'usage des terres et sur les pratiques agricoles
- Variables intégratrices du fonctionnement hydrologique du bassin versant (niveau de nappes et débits des oueds)
En parallèle, nous utilisons des observations satellitaires à diverses résolutions spatiales et temporelles, dans différents domaines de longueurs d'onde (visible, infrarouge, infrarouge thermique, microonde actives et passives...).
Ces données spatiales sont complémentaires des données in situ et leur utilisation conjointe permet de spatialiser des variables biophysiques à l’échelle du bassin (occupation du sol, biomasse, évapotranspiration, humidité du sol, neige, etc.). Ces variables biophysiques peuvent servir directement à des diagnostics ou être elles-mêmes utilisées dans des modèles simulant le fonctionnement des surfaces cultivées voire de l’ensemble du bassin versant.
Ces données spatiales sont complémentaires des données in situ et leur utilisation conjointe permet de spatialiser des variables biophysiques à l’échelle du bassin (occupation du sol, biomasse, évapotranspiration, humidité du sol, neige, etc.). Ces variables biophysiques peuvent servir directement à des diagnostics ou être elles-mêmes utilisées dans des modèles simulant le fonctionnement des surfaces cultivées voire de l’ensemble du bassin versant.